
Allons-nous comme l’évoquait The Economist vers « un monde fait uniquement de travailleurs indépendants hyper-spécialisés attendant qu’on veuille bien leur donner leur dose de travail journalier, comme les dockers du film de 1955 Sur les quais d’Elia Kazan » ? Certes le système de taxis français est anachronique, abusif et défectueux mais faut-il pour autant dans le domaine des transports comme en bien d’autres céder à l’uberisation de l’économie ? Y a-t-il encore une société si la technologie commande ? Le destin de l’homme est-il de s’ajuster aux algorithmes ?