Etienne Klein fait le récit d’une anecdote amusante à propos de Niels Bohr. Une anecdote qui pose le problème de l’inévitable formatage de la pensée inhérent à toute forme d’examens, de concours… Comment éviter que l’évaluation ne soit l’occasion de réprimer les tournures d’esprit originales ? La faculté d’adaptation à la philosophie ou à la psychologie des examinateurs est-elle le critère de réussite à l’examen ou bien se donne-t-on vraiment la peine d’évaluer la liberté d’esprit du candidat ?